Jean-David Chamboredon à l’honneur

Lundi 11 janvier : Diffusion d’un reportage dans l’émission Le Mag sur M6 à propos de BlaBlaCar.
Mercredi 12 janvier : interview de Jean-David Chamboredon dans Le Monde et lemonde.fr.

Contactée en novembre par un journaliste de M6, l’agence a organisé un tournage chez notre client Jean-David Chamboredon, président du fonds ISAI investisseur dans la start-up emblématique BlaBlaCar. Ce reportage retrace le parcours du fondateur Frédéric Mazzella, confronté à des débuts chaotiques, jusqu’au succès mondial d’aujourd’hui. Sa dernière levée de fonds est spectaculaire : elle s’élève à 200 M$. Jean-David Chamboredon, a souligné le journaliste, a été l’investisseur historique de BlaBlaCar.

Personnalité médiatique depuis le mouvement des « Pigeons », Jean-David Chamboredon a adopté un langage « cash », comme il le dit lui-même, qui séduit ses interlocuteurs.
Le patron d’ISAI a une méthode particulière pour choisir ses investissements. En général, il prend sa décision à l’issue d’un entretien de dix minutes à peine. Dans le cas de Frédéric Mazzella la discussion a duré plus d’une heure, et s’est concrétisée par le tout premier investissement d’ISAI, un ticket de 1,25 M€, pour la levée de fonds initiale de BlaBlaCar. Jean-David Chamboredon attribue ce coup de génie à l’identité d’ISAI : un fonds d’entrepreneurs, doté d’une forte culture « C2C ». Le début d’une success story.

Le rôle d’ISAI ? Pas simplement une affaire financière, mais également un solide accompagnement selon Jean-David Chamboredon. Mise en place du premier Conseil d’Administration de BlaBlaCar, rationalisation et optimisation du business model de cette start-up : autant de structures nécessaires pour développer l’entreprise, et donner la confiance nécessaire à son dirigeant. D’un entretien de trente minutes, le journaliste de M6 aura retenu l’essentiel : ISAI a cru au potentiel de BlaBlaCar et de son créateur, quand d’autres avaient alors ironisé sur cette « start-up de baba cool » *.
Pour une agence de RP, une personnalité riche comme celle de Jean-David Chamboredon constitue une exception : tous les médias sont a priori intéressés par ce « bon client », pour une raison évidente : il ne mâche pas ses mots, argumente sans langue de bois, formule des opinions originales.

Populaire involontairement au moment du mouvement des « Pigeons » dont il est devenu le porte-parole, il s’est imposé comme un expert de l’écosystème web français.
Aujourd’hui élu co-président de France Digitale, ses prises de parole sont encore plus recherchées. A ce titre, il répond au Monde ce mercredi 12 : « les créateurs de start-ups en campagne pour 2017« . Radios, télés, et journaux n’ont pas fini d’interviewer Jean-David Chamboredon.

* Un raté qui n’est pas sans rappeler la mésaventure d’un venture capitalist américain, qui raconte comment lui-même n’a pas cru au succès d’une petite start-up californienne : Airbnb.